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 It's just the hardest part of living ♦ AZELIE&ADAM

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AuteurMessage
L. Azelie Morgan
AZELIE ♣
i want my innocence back


L. Azelie Morgan

▌MESSAGES : 501
▌BIRTHDAY : 16/12/1992
▌SURVIVOR SINCE : 22/04/2010
▌AGE : 31

▌TRACKING : In your Ass darling
▌JOB : Infirmière
▌MOOD : ...


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It's just the hardest part of  living ♦ AZELIE&ADAM Vide
MessageSujet: It's just the hardest part of living ♦ AZELIE&ADAM   It's just the hardest part of  living ♦ AZELIE&ADAM Icon_minitimeLun 24 Mai - 15:18

    Houston était l’une des plus grandes villes des États Unis, elle était la plus grande du Texas, et même du sud des États Unis, autant dire qu’elle fait partie des villes les plus célèbres du continent américain, elle était touristique, culturelle, et beaucoup d’autre trucs, à vrai dire à l’heure actuelle si on pouvait trouver un défaut à l’ancienne ville de Houston ce serait sans doute le fait qu’elle soit l’une des ville ayant le plus de laboratoires de recherches, dit comme ça, ça ne paraissait pas néfaste et pourtant c’était ce qui avait causé sa perte, depuis des mois et des mois, la célèbre ville de Houston n’était plus rien, c’était cette ville que les gens préféraient oublier, cette ville barricadé absolument partout pour que les gens ou les choses qui la peuplaient ne puisse pas sortir de la triste ville. Personne ne comprenait vraiment que personne ne leur vienne en aide, de toute évidence ils n’étaient pas tous contaminé et pire encore, ils n’avaient rien a voir avec toutes ces conneries qui faisaient de leur vie un enfer. A vrai dire, même si elle travaillait dans le domaine de la santé, Azelie ne s’était jamais vraiment intéressée sur les recherches effectuée au Houston Medical Center et aujourd’hui encore elle n’en avait pas grand-chose à faire. Le résultat qu’elles avaient eu paraissait beaucoup plus important à ses yeux car elle comme beaucoup d’autre monde devait se battre pour survivre à ce bordel, alors ils auraient bien pu faire des recherches sur la transformation des lapins nains d’Amérique du sud en lapins mutants capables de parler et de danser le Jerk sur un air de Francis Cabrel que le résultat aurait été le même ! Elle était belle l’agglomération dotée de la plus forte concentration de laboratoire de recherche sur la santé ! Plutôt que de sauver des vies, ils en avaient détruit des milliers et c’était loin d’être fini, car personne n’avait l’intention de venir un jour sauver les dernier survivants de cette épidémie. Azelie avait la certitude que Houston ne comptait plus aux yeux de personne et qu’elle finirait par n’être que les vestiges d’une erreur de la science, une ville fantôme, si ce n’est même une ville complètement rayé de la carte qui n’apparaitrait plus que dans les manuels d’histoires. C’était triste à dire, mais dans le fond, il n’y avait pas véritablement d’intérêt dans la survie s’il n’y avait pas de fin à cet enfer, mais la nature humaine voulait que les Hommes continuent à se battre même devant la vanité d’un combat. Ça aurait pourtant été plus simple d’abandonner dés le début et au final, ceux qui étaient morts avant la mutation de la maladie était sans doute les plus chanceux, mais bon, il y avait cet esprit de survie qui avait empêché Azelie de mettre un terme à sa vie et peut être cette drôle d’impression que si elle n’avait pas réussi quelques temps auparavant, elle n’y arriverait pas aujourd’hui, au fond, elle avait vraiment raté beaucoup de choses dans sa vie, y compris, sa tentative de suicide. Tout ça pour dire qu’aujourd’hui, la jeune femme était bel et bien vivante et qu’au final, elle n’avait pas l’intention de baisser les bras tout en sachant très bien que la lutte était inutile. Mais bon, chaque repas doit être mérité et cette vérité s’applique aussi aux zombies après tout, ils pourrissent la vie des habitants de Houston alors autant ne pas leur faciliter la tâche !

    Les gens se rendaient utile du mieux qu’ils pouvaient dans cette situation, certains étaient assez courageux pour sortir et aller chercher des provisions et des trucs dont le monde avait besoin, les autres trouvaient toujours un moyen de se rendre utile à l’intérieur de l’hôtel, Azelie ça n’avait pas été bien compliqué pour elle de trouver quoi faire, de toute évidence il y avait deux choses pour lesquelles elle était douée, le sexe et les premiers soins, dans les deux cas, c’est grâce à l’expérience du métier mais vous vous en doutez sûrement, durant une invasion de zombie, on a plus besoin d’une infirmière que d’une prostituée quoi que certains hommes vous diront sûrement le contraire mais qu’importe, Azelie en avait fini avec la prostitution depuis quelques années déjà alors elle préférait de loin servir d’infirmière et on la comprend ! Enfin bon, il y avait des jours où il y avait peu de sorties et donc assez peu de risques de blessures et aujourd’hui, c’était une journée de ce genre, c’était assez calme à l’hôtel, les gens en profitaient pour se reposer ou pour trouver des moyens divers et variés de se détendre un peu, c’était pas toujours facile mais bon, les gens finissaient par y arriver et puis c’était mieux de se détendre malgré ce qu’il y avait dehors plutôt que de passer la journée à ruminer et a déprimer, bref, revenons à Azelie plutôt qu’au reste des survivants de l’hôtel. Azelie était comme tout le monde, elle avait parfois besoin de penser à autre chose qu’aux zombies qui envahissaient la ville. Aujourd’hui, alors que le soleil était haut dans le ciel la jeune femme s’était installée dans la chambre servant d’infirmerie au moins elle était quasiment sûre d’être au calme là et elle s’était mise à bouquiner, ceci dit, bien vite, elle se perdit dans ses pensées et jeta un coup d’œil dehors, entre les deux planches qui servaient à barricader la fenêtre, c’est là qu’elle aperçue, seul dehors un petit garçon qu’elle avait déjà vu, elle l’avait déjà vu parce qu’il était censé être dans l’hôtel, bizarrement elle ne chercha pas à comprendre comment il avait bien pu quitter l’intérieur de l’hôtel qui était pourtant bien barricadé, elle reposa son livre et poussa l’une des étagère qui permettait de bloquer la porte qui menait à l’extérieur de la pièce pour pouvoir sortir et courir après le petit garçon en question, Azelie avait parfois tendance à oublier que dans les conditions actuelle il fallait toujours faire très attention et elle était sortie sans même prendre d’arme, de toute façon, elle n’aurait sans doute pas su s’en servir et se serait sentie conne au moment de tirer parce qu’elle n’aurait sans doute pas penser à ôter la sécurité. Enfin bref, elle n’était vraiment pas douée la pauvre enfant ! Elle avait finalement réussi à rattraper le petit garçon qui lui annonça qu’il était sortit pour trouver sa maman, elle lui répondit que c’était dangereux et qu’il ferait mieux de retourné à l’hôtel et elle fut contrainte de se taire quand elle entendit, derrière elle, des bruits fort peu rassurant qui firent hurler le petit garçon, elle n’eut même pas besoin de se retourner pour comprendre de quoi il s’agissait. Elle se retourna et vit ce à quoi elle s’attendait c’est-à-dire des zombies. Pas un ou deux, mais plutôt deux ou trois dizaines à croire qu’ils sortaient d’une réunion Tupperware, le cris du petit les avaient sûrement attirés, enfin, savoir d’où et pourquoi ils sortaient au final ça ne semblait pas très important aux yeux d’Azelie, pour le moment elle n’avait qu’une idée en tête et c’était bien entendu celle de courir pour se barrer aussi loin que possible elle attrapa alors la main du garçon et se mit à courir pour échapper à ses créature sauf qu’apparemment aujourd’hui ils étaient véritablement de sortie car elle ne tarda pas a tomber face à un second groupe de ses créatures à croire qu’elle avait vraiment la poisse, ils y en avait qui venait d’en face et de derrière elle mais ho, miracle par sur le côté, bizarrement, elle avait l’impression de ne jamais avoir couru aussi vite de toute sa vie le problème étant que les zombies allait les suivre alors elle avait dit au garçon de courir en passant derrière le bâtiment afin de rejoindre l’hôtel, qu’elle, elle s’occupait des monstres, le petit avait obéis, le problème étant qu’elle n’allait pas s’occuper de grand-chose bien longtemps …
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